Mon père, fondateur de Martini Racing, m’a plongé dans l’univers de la course automobile dès mon plus jeune âge. Lorsqu’il est décédé en 2003, il possédait une Formule 1 Brabham BT44, que j’ai décidé d’engager au Grand Prix de Monaco Historique en 2006. C’est ainsi que tout a commencé. Par la suite, j’ai couru avec des GT, mon Osella, une Formule Junior, ainsi qu’en Formule 3 et Formule 2.

Les sensations au volant d’une monoplace sont incomparables à celles d’une GT. La F2 offre des performances et des ressentis très proches de la F1, tandis que la F3 exige un pilotage à la fois précis et technique. Une fois que l’on en comprend le mode d’emploi, elle permet de progresser considérablement.

Cette voiture était pilotée à l’époque par un lointain cousin, Lorenzo Nicolini.

À mes yeux, sa livrée noire, sobre et épurée, lui confère une allure fluide et particulièrement élégante.